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La retraite des salariés 

  • La retraite des salariés 
  • La retraite des salariés 

    Comprendre la retraite des salariés est une étape clé pour anticiper au mieux ce tournant de la vie. Le montant de la pension de retraite, l'âge de départ, le nombre de trimestres nécessaires, sont autant de points à éclaircir. La retraite de base, régulée par la CNAV, ainsi que la retraite complémentaire, jouent toutes deux un rôle déterminant. Découvrons ensemble les principaux aspects de la retraite des salariés.

  • Le rôle de la Sécurité Sociale dans la retraite des salariés
  • Le rôle de la Sécurité Sociale dans la retraite des salariés

    La Sécurité Sociale joue un rôle majeur dans la retraite des salariés. Elle assure le versement de la retraite de base, calculée principalement sur la base du salaire moyen et du nombre de trimestres cotisés.

    C'est la Caisse Nationale d'Assurance Vieillesse (CNAV) qui gère ce régime. Elle prend en compte la situation spécifique de chaque assuré pour déterminer le montant de la pension.

    Le montant maximum de la retraite de base à taux plein est égal à la moitié de la moyenne du plafond annuel de la Sécurité Sociale des 25 dernières années revalorisé. 

  • Les différentes caisses de retraite pour les salariés
  • Les différentes caisses de retraite pour les salariés

    En France, la retraite des salariés est gérée par différentes caisses, chacune correspondant à un secteur d'activité et à un statut professionnel spécifique. Le choix de la caisse de retraite est donc déterminé par l'activité professionnelle exercée.

    • Les caisses de retraite de base : La Caisse Nationale d'Assurance Vieillesse (CNAV) collecte les cotisations des salariés du privé, les agents non titulaires de la fonction publique.
    • Les caisses de retraite complémentaires : La retraite complémentaire est obligatoire pour les salariés et repose sur le même principe de répartition que la retraite de base. L'Agirc-Arrco est la fédération majeure qui regroupe les caisses de retraite complémentaire des salariés du privé

    La Caisse Nationale d'Assurance Vieillesse (CNAV)

    La Caisse Nationale d'Assurance Vieillesse (CNAV) est un organisme français de sécurité sociale qui gère la retraite de base des salariés du secteur privé. Elle a pour mission de collecter les cotisations et de verser les pensions de retraite. Elle assure également le suivi des carrières de ses assurés.

     

    La Caisse d'Assurance Retraite et de la Santé au Travail (CARSAT)

     

    Les CARSAT sont les antennes régionales qui enregistrent, contrôlent et délivrent des trimestres et des salaires cotisés pour établir les droits de retraite des assurés du régime général de la Sécurité Sociale géré par la CNAVTS (Caisse Nationale d’Assurance Vieillesse des Travailleurs Salariés).

    Elle gère la liquidation de votre retraite et anticipe les risques professionnels au travail. Pour bénéficier d’une pension, vous devez déposer votre demande de retraite personnelle au moins 4 mois avant la date prévue de votre départ (délai recommandé : minimum 6 mois).

    L'Agirc-Arrco : la retraite complémentaire des salariés

    L'Agirc-Arrco est un régime de retraite complémentaire qui s'applique aux salariés du secteur privé, qu'ils soient cadres ou non cadres. Ce système de retraite est alimenté par les cotisations salariales et patronales versées durant la carrière de l'employé. 

    La spécificité de l'Agirc-Arrco repose sur son fonctionnement par points. En effet, les cotisations versées sont converties en points de retraite selon un taux défini. Au moment du départ à la retraite, le nombre total de points est converti en pension annuelle.

    L'Agirc-Arrco offre également un service de simulation en ligne permettant à chaque salarié d'estimer le montant de sa retraite complémentaire.

    Il convient de noter que la retraite Agirc-Arrco vient compléter la retraite de base versée par la Sécurité Sociale.

  • Estimation de votre retraite : comment est calculée la retraite de base ?
  • Estimation de votre retraite : comment est calculée la retraite de base ?

    Le calcul de la retraite de base dépend de plusieurs facteurs :

    • Le Salaire Annuel Moyen (SAM) : il correspond à la moyenne des salaires des 25 meilleures années de carrière, dans la limite du Plafond Annuel de la Sécurité Sociale (PASS).
    • Le taux de liquidation : pour une retraite à taux plein, ce taux est de 50%. Il peut être minoré ou majoré en fonction du nombre de trimestres cotisés.
    • La durée d'assurance : elle représente le nombre de trimestres cotisés au cours de la carrière.

    Le calcul de la retraite se fait ensuite selon la formule suivante : SAM x Taux de liquidation x (Durée d'assurance / Durée de référence).

    Il est à noter que la durée de référence varie en fonction de l'année de naissance de l'assuré. Pour ceux nés à partir de 1973, elle est de 172 trimestres.

    Par ailleurs, le montant de la retraite ne peut excéder 50% du PASS moyen sur 25 années revalorisé. Si le calcul donne un montant supérieur, la pension de retraite est ramenée à ce plafond.

    EXEMPLE : 

    Quelle retraite sera obtenue avec un salaire de 2000 euros ?

    Pour un salarié qui a un salaire de 2000 euros, le montant de la retraite dépend du nombre de trimestres cotisés, du salaire annuel moyen (SAM) et du taux de liquidation.

    Il faut savoir que le montant de la retraite est plafonné à 50% du PASS (Plafond Annuel de la Sécurité Sociale), et qu'un salaire de 2000 euros mensuels correspond à un SAM d'environ 2597 euros.

    Si le salarié a cotisé pendant les 167 trimestres requis pour une retraite à taux plein, le calcul de la retraite de base serait comme suit :

    • SAM x Taux de liquidation x (Durée d'assurance / Durée de référence)
    • Soit, 2597 euros x 50% x (167/167) = environ 1298,50 euros par mois.

    C'est le montant brut de la retraite de base. Il convient d'ajouter à cela la retraite complémentaire pour obtenir le montant total de la pension de retraite.

    Le nombre de trimestres requis pour la retraite

    Pour obtenir une retraite à taux plein, un salarié doit avoir validé un nombre précis de trimestres, qui varie en fonction de son année de naissance. Ce nombre de trimestres est appelé "durée d'assurance". Il est calculé en prenant en compte les trimestres cotisés, qui correspondent à des périodes de travail pendant lesquelles des cotisations retraite ont été prélevées sur le salaire et versées aux caisses de retraite. Peuvent également entrer en compte les trimestres assimilés (chômage, invalidité, service militaire...) et les trimestres pour enfants. 

    • Pour les personnes nées en 1956 ou 1957, il faut avoir cotisé 166 trimestres, soit environ 41 ans et 6 mois.
    • Pour celles nées entre le 1er janvier 1958 et le 31 décembre 1960, il faut avoir cotisé 167 trimestres, soit environ 41 ans et 9 mois.
    • A terme, 172 trimestres seront nécessaires pour une pension sans décote, ce qui représente 43 années de cotisation.

  • La mise à la retraite : procédure et conditions 
  • La mise à la retraite : procédure et conditions 

    La mise à la retraite est un processus qui permet à un employeur de procéder à une rupture du contrat de travail avec son salarié. Elle peut être initiée soit par le salarié lui-même, soit par l'employeur. 

    Quelle est la procédure de mise à la retraite du salarié ? 

    Il existe des conditions spécifiques pour pouvoir mettre un salarié à la retraite et procéder à une rupture de son contrat de travail :

    • L'employeur ne peut mettre un salarié à la retraite sans son accord qu'à partir de 70 ans.
    • Avant l'âge de 70 ans, la mise à la retraite est possible si le salarié remplit les conditions d'une retraite à taux plein, mais elle nécessite l'accord du salarié.
    • Si le salarié a entre 67 et 69 ans, l'employeur peut lui proposer de partir à la retraite.

    Concernant la procédure, il n'existe aucune procédure particulière pour notifier la mise à la retraite. Toutefois, l'employeur doit déclarer à l'Urssaf le nombre de salariés mis à la retraite au plus tard le 31 janvier de chaque année. Cette déclaration est intégrée dans la DADS-U ou à la DSN.

    La préretraite : une option à envisager 

    La préretraite est une option qui permet au salarié de cesser son activité avant l'âge de la retraite, tout en continuant à percevoir un revenu. C'est une période d'inactivité rémunérée qui peut être envisagée dans certains cas, elle ne constitue pas un cas de rupture du contrat de travail. 

    Elle est généralement mise en place par un accord entre l'employeur et le salarié. Les conditions pour en bénéficier varient, mais elles incluent souvent une ancienneté minimale dans l'entreprise et l'adhésion à une convention spécifique.

    La préretraite offre plusieurs avantages :

    • Elle permet au salarié de bénéficier d'un revenu de substitution jusqu'à sa retraite à taux plein.
    • Elle offre une transition plus douce vers la retraite, avec la possibilité de se préparer à ce nouveau mode de vie.
    • Elle peut être une solution en cas de difficultés à continuer son activité jusqu'à l'âge de la retraite.

    Il est cependant important de noter que la préretraite peut avoir des conséquences sur le montant de la retraite future. Il est donc recommandé de se renseigner et de bien peser les avantages et les inconvénients avant de recourir à une telle procédure. 

  • Qu'est ce que la retraite complémentaire des salariés et quel est son impact ?
  • Qu'est ce que la retraite complémentaire des salariés et quel est son impact ?

    La retraite complémentaire des salariés est un régime obligatoire, qui vient en supplément de la retraite de base de la Sécurité Sociale. Elle est gérée par l'Agirc-Arrco pour les salariés du secteur privé. Les cotisations versées durant la carrière professionnelle sont converties en points de retraite, qui déterminent le montant de la pension complémentaire.

    Les régimes complémentaires en France

    En France, en plus des régimes de base gérés par la Sécurité Sociale, existent les régimes complémentaires obligatoires. Ils sont essentiels pour garantir un niveau de vie confortable à la retraite.

    • Pour les salariés du secteur privé, le régime complémentaire est mis en œuvre par l'Agirc-Arrco. Les cotisations versées permettent de se constituer des droits à la retraite.

    • Les salariés du secteur privé cotisent également pour leur retraite complémentaire auprès d'une caisse de retraite Arrco, et Agirc s'ils sont cadres.

    • Pour les fonctionnaires ou les travailleurs indépendants, des caisses de retraite complémentaires spécifiques existent.

    Il est essentiel de noter que le système de retraite repose sur le principe de répartition et de solidarité entre les générations : les cotisations acquittées par l'ensemble des salariés et leurs employeurs servent à payer la retraite complémentaire des anciens salariés qui sont actuellement à la retraite.

    Ces régimes complémentaires ont une importance considérable : en 2019, les pensions de retraite servies par ces régimes représentaient 28 % de l'ensemble des prestations vieillesse servies par les régimes obligatoires. Plus votre niveau de revenus est importants plus le taux de prise en charge de votre pension par les caisses complémentaires sera important. 

    L'importance du nombre de trimestres pour les régimes complémentaires

    Dans le cadre des régimes complémentaires comme l'Agirc-Arrco, le nombre de trimestres validés a également son importance. Chaque trimestre cotisé permet d'acquérir des points de retraite. Ces points sont ensuite convertis en euros au moment de la liquidation de la retraite, en fonction de la valeur du point au moment du départ à la retraite.

    Il est à noter que des mécanismes spécifiques peuvent s'appliquer dans le cadre des régimes complémentaires. Par exemple, une décote ou une surcote peut être appliquée sur la retraite complémentaire en fonction du nombre de trimestres validés. De plus, certaines périodes, telles que les périodes de chômage indemnisé, peuvent permettre d'acquérir des points de retraite complémentaire.

  • La retraite privée : une alternative à considérer
  • La retraite privée : une alternative à considérer

    Face à l'incertitude des régimes obligatoires, la retraite privée s'impose comme une solution complémentaire attractive. Elle s'appuie sur des dispositifs d'épargne spécifiques, tels que le Plan d'Épargne Retraite (PER), l'assurance vie ou encore le placement immobilier.

    L'objectif est de se constituer un capital ou une rente supplémentaire pour compléter les pensions de retraite de base et complémentaire. Cette alternative offre plus de souplesse et de personnalisation, permettant à chaque salarié de prévoir sa retraite selon ses objectifs et sa situation financière.

    Il est toutefois nécessaire de maîtriser les risques liés à ces placements privés, notamment en termes de rendement et de fiscalité.

    Les avantages et les inconvénients de la retraite privée

    La retraite privée présente plusieurs avantages et inconvénients qu'il est important de connaître.

    Parmi les avantages, on peut citer :

    • Flexibilité : la possibilité de choisir le montant et la périodicité des versements.
    • Rentabilité : les rendements peuvent être plus intéressants que ceux des régimes obligatoires.
    • Épargne forcée : c'est une façon efficace d'économiser pour sa retraite.

    Cependant, il y a aussi des inconvénients :

    • Risque : les placements en bourse ou immobiliers comportent toujours un niveau de risque.
    • Frais : les frais de gestion peuvent réduire la rentabilité de l'épargne.
    • Fiscalité : les bénéfices peuvent être soumis à l'impôt, selon les règles fiscales en vigueur.

    Il est donc crucial de bien comprendre ces aspects avant de faire le choix d'une retraite privée.

  • Le minimum de retraite : ce qu'il faut savoir
  • Le minimum de retraite : ce qu'il faut savoir

    Le minimum de retraite est une mesure de protection qui vise à garantir un revenu minimal aux retraités ayant eu une carrière complète. En France, il existe deux principaux types de minimums de retraite : le minimum contributif et le minimum garanti.

    Le minimum contributif concerne les salariés, artistes auteurs, contractuels de la fonction publique, commerçants, artisans et personnes relevant du régime des cultes. Il est accordé sous certaines conditions, notamment en fonction du nombre de trimestres cotisés.

    Pour bénéficier du minimum contributif majoré, il faut justifier d'au moins 120 trimestres cotisés au régime général de la Sécurité sociale. En 2024, le montant de ce minimum contributif majoré est de 695,59 € par mois.

    Le minimum garanti, quant à lui, s'adresse aux fonctionnaires.

    Il est important de noter que ces montants sont révisés chaque année, en fonction de l'évolution du Smic et d'autres éléments économiques. En outre, les montants ne sont pas fixes et peuvent varier d'un retraité à un autre.

    Il existe également des dispositifs spécifiques pour les retraités les plus modestes, comme l'Allocation de solidarité aux personnes âgées (ASPA), anciennement appelée Minimum vieillesse.

     

    Le montant minimum de la retraite en France

    En 2024, le montant minimum de la retraite, aussi appelé "minimum contributif", est fixé à 684,14 € brut par mois pour ceux qui ont cotisé moins de 120 trimestres au régime général. Pour ceux ayant cotisé au moins 120 trimestres, le montant est majoré à 747,57 € brut par mois.

    • Il est important de noter que le montant spécifique de la retraite minimum varie en fonction de plusieurs critères, tels que le nombre de trimestres cotisés.
    • Le minimum contributif ne peut pas porter le total des pensions perçues au titre des retraites de base et complémentaire au-delà d'un montant de 1 322,87 € au 1er janvier 2023.

    Il existe également un dispositif appelé Allocation de Solidarité aux Personnes Agées (ASPA) destiné aux retraités de plus de 65 ans ayant de faibles ressources. Le montant de cette prestation est également ajusté chaque année.

    Enfin, pour les fonctionnaires, il existe un autre type de minimum, appelé "minimum garanti".

    Les conditions pour bénéficier du minimum de retraite

    Pour bénéficier du minimum de retraite, plusieurs conditions doivent être remplies :

    • Avoir atteint l'âge légal de la retraite : Ce dernier varie en fonction de l'année de naissance du salarié. Généralement, il est fixé à 62 ans.
    • Avoir liquidé l'ensemble de ses pensions : Cela signifie que le salarié doit avoir fait valoir l'ensemble de ses droits à la retraite, aussi bien dans le régime de base que dans les régimes complémentaires.
    • Avoir une retraite à taux plein : Le taux plein est atteint lorsque le salarié a cotisé le nombre de trimestres requis pour sa génération, ou qu'il a atteint l'âge du taux plein sans décote (soit 67 ans). 

    Pour le minimum contributif majoré, il faut justifier d'au moins 120 trimestres cotisés au régime général de la Sécurité Sociale.

    Si ces conditions ne sont pas remplies, le salarié peut toutefois bénéficier d'un minimum de pension proportionnel à la durée de sa carrière.

    Enfin, il est à noter que le montant total des pensions de retraite (de base et complémentaires confondues) ne doit pas dépasser un certain plafond, qui est réévalué chaque année. En 2024, ce plafond est fixé à 1 177,44 € par mois.

  • Les ressources en ligne pour comprendre la retraite des salariés
  • Les ressources en ligne pour comprendre la retraite des salariés

    Pour comprendre le système de retraite des salariés, plusieurs ressources en ligne sont disponibles.

    Parmi elles, le site de l'Assurance Retraite est un incontournable. Il propose des services d'information, de simulation et de calcul pour mieux connaître vos droits. Par ailleurs, le site d'Info Retraite permet d'obtenir une estimation du montant de votre retraite en fonction de vos revenus, de votre âge de départ à la retraite et du nombre d'années travaillées.

    Pour ceux qui souhaitent comprendre le calcul de leurs cotisations et de leurs points de retraite, le site d'Agirc-Arrco propose des explications claires. 

    Enfin, pour ceux qui préfèrent une approche plus pratique, le site La retraite en clair propose divers outils pour préparer sa retraite.

    L'Assurance Retraite : un site incontournable

    L'Assurance Retraite, site officiel de la Caisse Nationale d'Assurance Vieillesse (CNAV), est un portail incontournable pour tout salarié désirant s'informer sur sa retraite. Il propose une multitude de services en ligne adaptés à chaque profil d'assuré, qu'il s'agisse de bénéficiaires actuels ou futurs.

    Un espace personnel est disponible pour chaque assuré permettant d'obtenir des informations fiables sur l’âge et le montant de la retraite, et réaliser ses démarches en ligne. Vous pouvez, par exemple, estimer le montant de votre retraite ou faire une demande de retraite en ligne. 

    Info Retraite : un autre site accessible pour tous

    Le site Info Retraite est une autre ressource précieuse pour les salariés souhaitant comprendre et anticiper leur retraite. Ce site offre une information personnalisée selon vos régimes de retraite et vous permet d'effectuer vos démarches et simulations en ligne. Vous y trouverez un accès sécurisé à votre compte retraite où vous pouvez consulter le montant estimatif de vos différentes pensions de retraite, de base et complémentaires. Vous y trouverez notamment deux documents essentiels :

    • Votre Relevé Individuel de Situation (RIS) 
    • Votre Estimation Indicative Globale (EIG) 

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